vendredi 24 mai 2013

Faune et Flore de la montatgne

La faune:

Pendant le voyage que nous avons effectué en Haute Savoie le jeudi 11 avril 2013, nous nous sommes levés tôt (4h30) pour aller voir des animaux à l'aurore dans les montagnes. Nous sommes montés à 1400 m d'altitude et nous avons aperçu ces quelques animaux :


Bouquetins des Alpes : c'est une espèce protégée qui a été réintroduite avec l'aide des chasseurs dès 1970. Ces animaux sont bien représentés en Haute-Savoie (plus de 2000 animaux) grâce à une augmentation régulière de l'espèce.


Chamois : Le chamois fait parti des animaux emblématiques de montagne. Cette espèce a subit une diminution après la guerre très importante. Depuis, une réserve de chasse qui a été créée en 1968 ainsi qu'une politique de chasse en 1990. Sa population est supérieure  à 10 000 individus et un PMA ( Prélèvement Maximal Autorisé) à 1200 animaux. Nous avons pu observer quelques animaux de cette espèce

photos Eric Breyton                                                        chamois                                                                           bouquetin des Alpes










Le tétras lyre:
Le tétras lyre est une espèce d'oiseau sédentaire, symbole des Alpes européennes.
En hiver il se construit une sorte d'igloo dans la neige, où la température reste à environ 4°C.
Le tétras-lyre est surtout célèbre pour ses parades nuptiales printanières. Pendant ce temps les poules vagabondent d’une place à l’autre, et choisissent chacune leur futur partenaire qui est toujours le mâle dominant.




La flore:

Pendant ce voyage nous avons pu aperçevoir des sapins, des épiceas, des chênes et des frênes.

Jérémy,Antoine,Nicolas

organnisation du pays mellois

Schéma d'organisation du pays mellois


Clément et Alexis

exploitation en monbeliarde

Nous avons visité une exploitation en Haute-Savoie.

L'eleveur possède 100 vaches dont 50 Abondances et 50 Monbeliardes, pour sa passion l'eleveur a  des  vaches de combat de race Erince .

Il utilise le séchage en grange ( foin luzerne ). Il utilise une griffe pour prendre le foin de luzerne et 2 repas par jour

Il fait monter son bétail en alpage pendant l'étè et les redescend au fur et à mesure des saisons et les rentre avant que l'hiver n'arrive.

Le lait est envoyé à une laiterie pour en faire du fromage ( Reblochon ).

       la vache monbéliarde                                                                               la vache Erince
le materiel:

-5 tracteurs de 80 à 150 chevaux .
-Une autachargeuse de 80 m3 .
- 1 faneuse de 10 m .
- Andaineur de 12 m .
- Presse à balles rondes .
Le moyen de reproductuion:

Le moyen de reproduction est IA et le taux de reussite est de 72%  .

Il y a 30 vaches qui sont destinées à la vente (boucherie )

Les atouts
-Fonctionnalites des batiments et aides des l'Europe(30%) pour le financement .
-Lait bien payé grace a l' AOC ( 510 euros la tonne) .
-Le siege d'exploitation se situe dans la vallée .
-3 personnes travaillent sur le GAEC donc ils travaillent chacun 1 week end sur 3 et ils peuvent prendre 2 à 3 semaines de vacances .
-Groupement pastoral en alpage .
CONTRAINTES:
-Exploitation proche de la ville .
-2 AOC reblochon+abondance .
-140 jours de paturage obligatoire et 1,8t de farine(maximum) .
-parcelles morcellées et éloignées du siege de l'exploitation .
-Obligation de 50% d'abondance dans le cheptel d'Appellation d'Origine Contrôlée (AOC abondance) .




Mathieu 

Benjamin

Wilfrid

Thibault









l'agroforesterie





L'agroforesterie:



 L’agroforesterie est un mode d’exploitation des terres agricoles associant des plantations d'arbres dans des cultures ou des pâturages. Elle est apparue dans les années 1970. Il s’agit d’un terme moderne ayant un usage proche de la coplantation, technique culturale traditionnelle.
Dans l'agroforesterie, on peut trouver toutes sortes  d'arbres comme : le pêcher, le cerisier, le chêne, l'olivier dans le sud où il fait généralement beau temps. L'agroforesterie permet de garder l'humidité dans le sol, faire des abris pour les animaux et les feuilles fertilisent le sol en créant de l'humus.
Le lycée utilise cette facon de cultiver dans une prairie permanente afin de produire de l'ombre pour les animaux mais aussi de produire des fruits lorsqu'il s'agit  d'arbres fruitiers. Le lycée a implanté des pommiers en 2013.


Franck ; Maxime ; Pierre

barrage de verbois a genève

Le barrage de Verbois à Genève en Suisse !

 

  La photo ci-dessus représente une porte du barrage qui est fermée. Quand cette porte s'ouvre l'eau traverse et s'écoule pour créer du courant . C'est le trop plein

Le mercredi 10 Avril 2013, nous sommes allés en Suisse pour visiter le site de Verbois qui produit de l'électricité pour ¼ de la population du canton de Genève tout en essayant de préserver la biodiversité. Le reste de l'énergie hydro-éléctrique est achetée par lescantons voisins . Sur ce site, il y a :
      • une centrale hydro-éléctrique
      • des panneaux photovoltaïques qui  produisent de l'électricité  pour 300 ménages.
      • Une micro-centrale électrique 
  1.                                      on peut voir une turbine

    Description de la centrale hydroélectrique:
    Le barrage plus les vannes mesurent 75 m de haut. L'infrastructure fait 200 m de long en tout.
    Ils ont creusé un trou de 10m pour créer un courant et faire tourner les 4 turbines de 5 mètres de diamètre. Ils ont changé une turbine dans les années 90 pour des raisons de rendements sachant que la durée de vie d'une turbine et d'environ 50 ans. Elles pèsent chacune 80 tonnes et 125 à 130 m3 d'eau par seconde  passe dans chaque turbine.Si les 4 turbines fonctionnent ensemble alors il y passera au maximum 620 m3 d'eau par seconde.
    Le Rhône a été détourné pour que le fleuve soit droit et ainsi poursuivre plus rapidement son cours. Il y a plusieurs grilles qui empêchent les gros débris de passer dans les turbines. Elle entraîne un alternateur qui avec l'aimant produit de l’électricité statique. La centrale hydroélectrique produit 466GWh par an ce qui correspond à la consommation de 122 000 ménages
    Le barrage peut passer au maximum 2400 m3/s (620 m3/s par les turbines et 1780 m3/s par les passes). Si la centrale tombe en panne il y a des risques d’inondations pour les villages en aval donc ils ont aussi mis en place un moteur de tracteur tondeuse ( '' Le petit sauveur '' ).

     voici une photo du Rhône on voit que le fleuve est bien droit qu'il n'y a pas de virage .
  2. Les aménagements
    Ils ont mis des panneaux solaires pour alimenter 300 ménages mais l’énergie qui en sort est du courant continue et il faut la convertir en courant alternatif.
    Ils ont aménagé des passes à poissons pour qu'ils puissent passer d'un coté à l'autre du barrage dans le but de se reproduire en amont du fleuve. Dans la passe a poissons il y a 2 bassins de repos.
    Pour que les poissons entrent dans les passes, ils ont créé un faux courant d'eau. Au bout de celui-ci, il a été mis en place une micro-centrale électrique qui répond aux besoins en électricité de 500 ménages.
    Ils ont refait les berges, créé des frayères pour que la faune sauvage est un habitat. Ils ont dépensé 100 000 francs suisse (environ 90 000 euros)

     Gwendoline et Audrey.G

La scirie



La scierie


La scierie à été créée au début du XVII siècle. Au départ ce bâtiment  servait de moulin à farine. 100 ans après ce moulin s'est transformé en éco musée du bois que l’on peut visiter.

Dans la scierie de demonstration  il y a 2 étages : Au rez de chaussée se trouve la roue entrainée par l’eau et les mécanismes permettant d’entraîner la scie battante située au 1er étage .
Dans la forêt, actuellement, la plupart des arbres sont abattus avec une tronçonneuse, autrefois cela se faisait avec une scie à deux manuelle. Ensuite on réalise l’ébranchage puis on débarde le bois. Le pin était le principal bois coupé, le chêne lui est situé plus bas bans la montagne.

Arrivé devant l’entrée, un système vient prendre la bille et l’apporter devant la scie. La scie vient découper la bille. Cela dure environ 3 minutes.


Voici la scie qui coupe le tronc


Voici les roulements du moulin à eau qui entraine la scie battente


Voici la planche que la scie à découpée du tronc

Fromagerie de Reblochon en Haute-Savoie

Fromagerie de Reblochon


Le vendredi 12 Avril 2013 lors de notre voyage en Haute-Savoie, nous sommes allés visiter le GAEC du Val de Thônes situé à 650 m d’altitude. La personne qui nous a reçus s’occupe principalement de la transformation du lait en fromage, en l’occurrence le  « reblochon ». Le cheptel est de 70 vaches laitières.

Le GAEC fabrique lui-même ses fromages, qui est le Reblochon AOP.

Le lait arrive directement du lactoduc au tank situé dans la salle de fabrication. Il doit chauffer jusqu’à 32-33°. Le fromager utilise des fermants lactiques (yaourt = 1 L de fermant pour 600 L de lait) pour la coagulation.  Ensuite il ajoute 25 ml de présure pour 600 L de lait qu'il laisse agir pendant 35 à 40 minutes. Puis il "tranche" en fines lamelles le caillé à l’aide d’un ustensile adapté  pour séparer la matière sèche et le petit lait.

Le petit lait est distribué dans les abreuvoirs des vaches par des tuyaux. Il découpe du caillé de la grosseur d’un grain de maïs, puis des toiles sont mises dans les pots en plastique. Il faut 4 L de lait pour fabriquer 1 reblochon et le poids du fromage varie entre 450 et 550 g. Ils sont ensuite stockés dans les salles de stockage (17°). Les fromages vont s’égoutter 2 heures en saumure ce qui va favoriser la formation de la croûte. Après 5 jours les fromages sont déposés sur des planches en  bois. Les fromages sont entreposés dans la cave (température 13-14°) pendant 8 jours ; ils devront être tournés régulièrement. Après ce délai, les fromages partent chez les affineurs qui les vendront sous leur propre nom.

L’exploitant a prit soin de « signer » sa production en aposant sur chaque reblochon une pastille de traçabilité de couleur verte pour les produits fermiers et rouge pour la coopérative.

Reblochons stockés dans la cave.

Audrey & Tessa

Rénovation de murs en pierres sèches

Le 25 janvier 2013, nous avons rénové un mur en pierres sèches au lieu dit « le logis ». Le but était de refaire le mur avec les pierres qui étaient tombées par terre.
Le chantier a duré 3 heures. Nous avons déterré beaucoup de pierres.
Nous avons appris à faire un mur en pierres sèches avec des matériaux naturels.
Les outils étaient :
-         des pioches
-         des pelles
-         des marteaux
-         des burins
-         des fils à plomb
-         des niveaux
-         une brouette
-    des seaux
-     les truelles
Dans un premier temps, nous avons déterré les pierres avec les pioches ainsi qu'avec les pelles pour enlever la terre.
Avec les marteaux et les burins nous avons cassé les pierres pour qu'elles soient de bonne dimension.
Les fils à plomb et les niveaux servaient à mettre le mur d'aplomb et de niveau.
La brouette servait uniquement à ammerner le matériel sur le chantier.
Les seaux servaient à transporter la terre qui servait à coller le mur.
Les truelles nous ont servi à niveller la terre sur le mur.



Exemple d’un mur en pierres sèches




                                                                                        Antonin, Antoine, Johann, Vincent, Yoan.
                                                                                                                                           

La pisciculture de lussais

La pisciculture de lussais se situe dans les deux sèvres à Chef boutonne. Elle est installée depuis 1985, specialisée dans les salmonidés (truites arc en ciel , truites gold, truites tiger, saumons de fontaine, esturgeons, carpes... ). Leur bassin sont situé sur deux site un site qui est situé à lussais et un autre situe à fontenille.
Le site naturel de la Pisciculture de Lussais
L' alimentation est composée de protéines, d'huile végétale, d'amidon (appelé extrait non azoté par les fabricants). Cette alimentation est vendue sous forme de granulé, les poisson sont nourrit a la main 3 fois par jour.
Ils achètent des alvins qu 'ils élèvent  pendant environ 12 mois pour ensuites les vendre ou les transformer  
  Ils transforment leurs  propres poissons de façon artisanale. Ils utilisent uniquement du sel, et aucun aromate ou épice. Toutes les étapes sont effectuées à la main  : préparation des poissons, salaison, fumage, puis filetage ou tranchage selon les spécialités.
Ils vendent à la pisciculture leurs produits transformés, filets frais, oeufs, poissons fumés au feu de bois dont leur spécialité, la truite fumée !.
Leur boutique du terroir est ouverte toute l’année, de 9h à 18h, sauf le dimanche et jours fériés. Ils peuvent aussi  expédier les  produits par colis express dans toute la France métropolitaine.
Kevin, Valentin, Yohann, Clement  

Animaux sauvages de Haute Savoie

Animaux sauvages de Haute Savoie


            Le jeudi 11 avril, nous nous sommes levés à 4h30 du matin dans le but d’aller faire une randonnée sur la montagne « le Mole », au dessus de La Roche sur Foron, accompagnés de Monsieur Pierre MOSSUZ, pour observer des animaux sauvages (chamois et tétras). Nous sommes arrivés sur le lieu de rendez-vous à 6 heures et avons commencé à gravir la montagne et avons marché environ 2 heures dans la neige avant d’arriver au pallier (1400 mètres d’altitude). C’est en  ce lieu que  nous avons pu observer ces différentes espèces.

                        La montagne regroupe une faune sauvage diverse qui préserve la biodiversité. La forêt monte jusqu'à 2000 mètres d'altitude et   chasseurs de montagne en Haute-Savoie.
possède un accroissement naturel plutôt élevé. Il y a environ 4000
            Quelques petits gibiers :
                                  
La marmotte, Le lièvre variable, Le tétras lyre
            Quelques grands gibiers :

Bouquetins des Alpes, Chamois, Des ongulés

 Dans les Alpages, de nombreuses populations sont en compétitions alimentaires dans les zones hivernales.

Notre avis personnel :
            Lors de la randonnée, nous avons bien aimé le fait de pouvoir observer la faune et la flore du pays montagnard. Nous avons trouvé l’intervention du technicien de la fédération des chasseurs de Haute Savoie intéressante et complémentaire par rapport à la randonnée.

Clément, Clément, Alexis, Theophile

La chocolatrie du Rhône, à Genève

La chocolaterie du Rhône

 à Genève




Nous avons visité la chocolaterie du Rhône à Genève le mercredi 10 Avril.

 
La chocolaterie a été créée en 1875. Aujourd'hui, trois artisans chocolatiers et 5 vendeuses y travaillent. Le laboratoire est en haut et le magasin en bas.
La chocolaterie du Rhône est la plus vieille de Genève.

Le travail du chocolat

Le chocolat doit passer une étape cruciale : La fonte
La fonte du chocolat s'effectue à une certaine température. Elle varie en fonction du type de chocolat et des différentes courbes de temperature.
Exemple : Pour le chocolat noir , la fonte se fait entre 50° et 55°C. Le chocolat est ensuite refroidi à 27°C et se fait chauffer à 32°-33°C pour le travailler. Le respect de ces températures permet de le démouler plus facilement et de lui donner un aspect brillant.

Vente et production
Les trois chefs chocolatiers produisent environ 10 tonnes de chocolats dans l'année. Les ¾ de la production sont enrobés de chocolat noir.

 25% de leur chiffre d'affaires se fait lors des fêtes de Pâques et de Noël. Sur ces périodes les journées de travail sont très longues.
           
           On a tous aimé la dégustation et l’accueil. La découverte de ce métier était passionnante parce que ce métier est toutefois basé sur la créativité et les techniques sont nombreuses.
Nous remercions les trois maîtres chocolatiers pour leur accueil ; leur visite, leurs dégustations et bien sur le partage de leur savoir faire.





Voici le procédé de fabrication ci-dessous :



Après avoir acheté son chocolat en tablette, voici les mélanges faits pour obtenir les 3 différents chocolats :

 

Nous avons ensuite eu une dégustation :

 

Audrey & Tessa